Titre : |
Les Dieux du stade |
Titre original : |
Olympia – Fest der Völker, Fest der Schönheit |
Type de document : |
document projeté ou vidéo |
Auteurs : |
Leni Riefenstahl (1902–2003), Metteur en scène, réalisateur |
Editeur : |
Hot Town Music-Paradiso |
Année de publication : |
DR 1938 |
Importance : |
1h55 + 1h28 |
Présentation : |
Couleur : noir et blanc |
Format : |
2 DVD (langues : de – ST : fr, en, nl) |
ISBN/ISSN/EAN : |
5410504609626 |
Note générale : |
VO allemande (VDE – Sous-titrage français (VOSTFR), anglais (VOSTEN) et néerlandais (VOSTNL) |
Langues : |
Allemand (ger) Français (fre) Anglais (eng) Néerlandais (nla) |
Catégories : |
Deutscher Faschismus / Nationalsozialismus / Drittes Reich / Fascisme allemand / Nazisme / Troisième Reich Deutsches Reich, Deutschland – DR (1930er Jahre) / L'Empire Allemand, Allemagne (Années 1930) Dokumentarfilm (Doku) / Documentaire Film (1930er Jahre) / Film (années 1930) Propaganda / Propagande Sport
|
Index. décimale : |
DVD RIEF 1264 |
Note de contenu : |
1e partie : Fest der Völker (DVD 1)
2e partie : Fest der Schönheit (DVD 2)
"Les Dieux du stade" est une oeuvre de propagande réalisée par Leni Riefensthal à l'occasion des Jeux Olympiques de Berlin en 1936. De par les techniques qui s'y trouvent utilisées et la présentation des performances des athlètes, Olympia ("Les Dieux du stade") peut être considéré comme un documentaire précurseur des retransmissions télévisées actuelles. En un sens, la cinéaste officielle du IIIe Reich inventa la télévision. Des dizaines d'opérateurs, un budget inouï, près de deux ans de montage, une technologie révolutionnaire (dont l'emploi quasi systématique du téléobjectif) pour une version très typée de l'olympisme. À noter : le kitsch des scènes grecques, la séquence du triomphe de Jesse Owens où la réalisatrice, dans une inversion remarquable des intentions, met toute sa technique au service d'un évident ennemi de la cause raciale. (wikipedia.fr)
Die Olympischen Spiele wurden für das Jahr 1936 an Berlin vergeben. Wie zu jeder Olympiade üblich wurde auch hier ein offizieller Dokumentarfilm gedreht. Ein mit sehr viel Pathos daherkommendes, den Heroen im Menschen feierndes, die "reine" Schönheit betrachtendes Produkt nationalsozialistischen Kunstverständnisses ist da entstanden, das wohl am ehesten dem entspricht, was Goebbels vom Film erwartete: Große, politische Ästhetik im Dienste des Staates. (negativeland) |
Les Dieux du stade = Olympia – Fest der Völker, Fest der Schönheit [document projeté ou vidéo] / Leni Riefenstahl (1902–2003), Metteur en scène, réalisateur . - Hot Town Music-Paradiso, DR 1938 . - 1h55 + 1h28 : Couleur : noir et blanc ; 2 DVD (langues : de – ST : fr, en, nl). ISSN : 5410504609626 VO allemande (VDE – Sous-titrage français (VOSTFR), anglais (VOSTEN) et néerlandais (VOSTNL) Langues : Allemand ( ger) Français ( fre) Anglais ( eng) Néerlandais ( nla) Catégories : |
Deutscher Faschismus / Nationalsozialismus / Drittes Reich / Fascisme allemand / Nazisme / Troisième Reich Deutsches Reich, Deutschland – DR (1930er Jahre) / L'Empire Allemand, Allemagne (Années 1930) Dokumentarfilm (Doku) / Documentaire Film (1930er Jahre) / Film (années 1930) Propaganda / Propagande Sport
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Index. décimale : |
DVD RIEF 1264 |
Note de contenu : |
1e partie : Fest der Völker (DVD 1)
2e partie : Fest der Schönheit (DVD 2)
"Les Dieux du stade" est une oeuvre de propagande réalisée par Leni Riefensthal à l'occasion des Jeux Olympiques de Berlin en 1936. De par les techniques qui s'y trouvent utilisées et la présentation des performances des athlètes, Olympia ("Les Dieux du stade") peut être considéré comme un documentaire précurseur des retransmissions télévisées actuelles. En un sens, la cinéaste officielle du IIIe Reich inventa la télévision. Des dizaines d'opérateurs, un budget inouï, près de deux ans de montage, une technologie révolutionnaire (dont l'emploi quasi systématique du téléobjectif) pour une version très typée de l'olympisme. À noter : le kitsch des scènes grecques, la séquence du triomphe de Jesse Owens où la réalisatrice, dans une inversion remarquable des intentions, met toute sa technique au service d'un évident ennemi de la cause raciale. (wikipedia.fr)
Die Olympischen Spiele wurden für das Jahr 1936 an Berlin vergeben. Wie zu jeder Olympiade üblich wurde auch hier ein offizieller Dokumentarfilm gedreht. Ein mit sehr viel Pathos daherkommendes, den Heroen im Menschen feierndes, die "reine" Schönheit betrachtendes Produkt nationalsozialistischen Kunstverständnisses ist da entstanden, das wohl am ehesten dem entspricht, was Goebbels vom Film erwartete: Große, politische Ästhetik im Dienste des Staates. (negativeland) |
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