Soldat des troupes frontalières sur le mur devant la porte de Brandebourg, Berlin, novembre 1989

Vue de l’Ouest vers l’Est

Les troupes frontalières de la République démocratique allemande étaient une organisation militaire affectée principalement à la surveillance de la frontière entre la RFA et la RDA. Excepté l’Union soviétique, aucun autre pays du Pacte de Varsovie n’entretenait une force de garde-frontières aussi importante. …

En 1989, un an avant leur disparition, les troupes frontalières comptaient 47 000 membres. La majorité de ces troupes est affectée à la surveillance de la frontière avec l’Allemagne de l’Ouest

Photo Philippe Maupetit / Texte Wikipedia

Dijon, du 7 au 26 novembre 2019. Exposition Mur(s) 1989 : 2019

Rue Buffon

Ecole du Nord, Place de la République

Place de la Sainte Chapelle

Maison Rhénanie-Palatinat

Il y a 30 ans, le Mur de Berlin s’effondrait

La Maison de Rhénanie PalatinatPhilippe Maupetit et la Ville de Dijon vous proposent le regard croisé dans le temps du Photographe autour de quatre thématiques : le Mur, la Destruction, l’Ouverture et enfin la Mémoire.

Philippe Maupetit, photographe du quotidien régional Le Bien Public à l’époque, était en novembre 1989 à Berlin pour saisir l’événement. 30 ans après, il pose un nouveau regard sur les lieux de cette ville devenue la capitale d’Allemagne.

L’exposition s’affichera de la Maison Rhénanie Palatinat au cœur de la ville, en passant par les murs de l’école du Nord, place de la République, de la rue Buffon, et sur des reproductions des éléments du mur de Berlin place de la Sainte Chapelle.

Soldat des troupes frontalières sur le mur devant la porte de Brandebourg, Berlin, novembre 1989

À découvrir dans le livret de l’exposition : les paroles qui ont marqué les événements, les moments forts de l’histoire du Mur et les ressentis de dijonnais 30 ans après sa chute.

Pour en savoir plus le photographe : visitez le site internet de Philippe Maupetit

En partenariat avec Philippe Maupetit, la ville de Dijon et avec le soutien financier du Goethe-Institut