Le Pont de Glienicke, Berlin, août 2019
Vue de l’ouest à l’est
Devant avec remorque un Trabant
Le pont de Glienicke est un pont situé en Allemagne qui relie Berlin à Potsdam en passant sur la Havel, au sud-ouest de la capitale allemande.
Avant la réunification, ce pont faisait la jonction entre le secteur américain de Berlin-Ouest et le secteur soviétique qui forme la RDA. Pendant la guerre froide, il est principalement connu sous le nom de « pont des Espions » parce qu’il sert de lieu pour la plupart des échanges d’espions entre les deux camps.
Fermé à la circulation durant cette période, seules les missions militaires de liaison qui se rendaient en RDA étaient autorisées à le franchir1.
Le pont a été rouvert à la circulation piétonne le soir du 10 novembre 1989, le lendemain de la chute du mur de Berlin.
En février 1962, l’Américain Gary Powers, pilote d’un avion-espion U2 abattu au-dessus du territoire soviétique est échangé contre l’espion communiste Rudolf Abel, emprisonné aux États-Unis.
En 1985, vingt-trois prisonniers politiques d’Allemagne de l’Est sont échangés contre quatre espions prisonniers des États-Unis.
En février 1986, quatre agents soviétiques sont troqués contre le dissident Anatoli Chtcharanski et quatre agents occidentaux.
Le pont de Glienicke figure dans le film de Steven Spielberg, Le Pont des espions, dans une scène d’échange d’espions.
Le pont apparait également dans le film Le Serpent de Henri Verneuil.
Photo Philippe Maupetit / Texte Wikipedia
Dijon, du 7 au 26 novembre 2019. Exposition Mur(s) 1989 : 2019
Rue Buffon
- Checkpoint Charlie, Berlin, août 2019
- Porte de Brandenbourg, Berlin, novembre 1989
- East-Side-Galerie, Berlin, août 2019
Ecole du Nord, Place de la République
- Ce garçon regarde à travers un trou dans le mur à Berlin-Est, Berlin, novembre 1989
- Mémorial du Mur, Bernauer Strasse, Berlin, août 2019
- Soldat des troupes frontalières sur le mur devant la porte de Brandebourg, Berlin, novembre 1989
- East-Side-Gallery, Berlin, août 2019 Test The Best (Test The Rest)
- Lieu de passage créé après l’ouverture du Mur, Berlin, novembre 1989
Place de la Sainte Chapelle
- Le dernier élément, Berlin, août 2019
- Lieu de passage créé juste après l’ouverture du Mur Berlin, novembre 1989
- Pariser Platz, Berlin, août 2019
- Les victimes du Mur, Ebertstrasse, Berlin, août 2019
- Mémorial du Mur, Bernauer Strasse, Berlin, août 2019
- Un trou dans le mur fait par les „Mauerspechte“, Berlin, novembre 1989
- East-Side-Gallery, Berlin, août 2019
- Enlèvement d’un élément du mur, Berlin novembre 1989
Maison Rhénanie-Palatinat
- Bernauer Strasse, Berlin, novembre 1989
- Lieu de passage créé juste après l’ouverture du Mur Berlin, novembre 1989
- Mémorial du Mur, Bernauer Strasse, Berlin, août 2019
- Palais des Larmes (Tränenpalast) Berlin, août 2019
- Le Pont de Glienicke, Berlin, août 2019
- Porte de Brandenbourg, Berlin, novembre 1989
- Un trou dans le mur fait par les „Mauerspechte“, Berlin, novembre 1989
- East-Side-Gallery , Berlin, août 2019, Le Baiser de l’Amitié de Dmitri Vrubel restauré
- La station de metro Brandenburger Tor, Berlin, août 2019
- Lieu de passage créé après l’ouverture du Mur, Berlin, novembre 1989
- Soldat des troupes frontalières sur le mur devant la porte de Brandebourg, Berlin, novembre 1989
- Eléments du mur devant la Maison d’édition Axel Springer, Berlin, août 2019
- Eléments du mur devant la Maison d’édition Axel Springer, Berlin, août 2019
- Lieu de passage créé après l’ouverture du Mur, Berlin, novembre 1989
Il y a 30 ans, le Mur de Berlin s’effondrait
La Maison de Rhénanie Palatinat, Philippe Maupetit et la Ville de Dijon vous proposent le regard croisé dans le temps du Photographe autour de quatre thématiques : le Mur, la Destruction, l’Ouverture et enfin la Mémoire.
Philippe Maupetit, photographe du quotidien régional Le Bien Public à l’époque, était en novembre 1989 à Berlin pour saisir l’événement. 30 ans après, il pose un nouveau regard sur les lieux de cette ville devenue la capitale d’Allemagne.
L’exposition s’affichera de la Maison Rhénanie Palatinat au cœur de la ville, en passant par les murs de l’école du Nord, place de la République, de la rue Buffon, et sur des reproductions des éléments du mur de Berlin place de la Sainte Chapelle.
À découvrir dans le livret de l’exposition : les paroles qui ont marqué les événements, les moments forts de l’histoire du Mur et les ressentis de dijonnais 30 ans après sa chute.
Pour en savoir plus le photographe : visitez le site internet de Philippe Maupetit